Premières professions 2019   

 

 

 

 

 

C’est avec une grande joie que nous allons partager en quelques mots notre parcours de foi,

et comment, par la prière et l’étude de la Parole, nous avons essayé de répondre

à l’appel du Seigneur, dans la famille des Sœurs du Prado.

 
                                                          Qui sommes-nous ?

 

 

                   
   

          VOHITA Hermann Joeline,

          du diocèse de Fénérive-Est.

 
 
 
 
 
 
   

 

RAFANOMEZANTSOA Andriamidosy Marie Theresa, du diocèse de Mananjary.

 
   
 
 
 
   

 

  RAZAFINDRASOA Antenaina Valérie,

  du diocèse de Fénérive Est.

 

 
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                                                        L’appel

Nous avons eu chacune une manière différente de recevoir l’appel.
Il y en a parmi nous qui ont eu le désir de devenir religieuse en voyant des filles
qui se perdent dans la vie mondaine, dans la honte et la détresse pour leurs parents.
Il y en a qui ont été attirées en voyant les religieuses qui donnent la communion ;
ou  avec le désir de participer à des réunions, des rencontres…
aller à la messe tous les jours et faire la prière à l’église quand elle sera religieuse.

Ces désirs se sont éclairés et affermis grâce à l’Etude d’Evangile, à la participation
aux rencontres avec les solofo (jeunes en recherche de vocation)…
ce qui nous a amenées à nous décider et à faire le choix d’une congrégation.

 

                                             Pourquoi le Prado ?

Nous étions contentes quand nous rencontrions les sœurs : elles sont ouvertes
à tout le monde, elles travaillent pour le développement humain et spirituel.
Nous avons découvert la simplicité de leur vie, et même, dans la vie quotidienne,
elles s’habillent comme les gens.

Le travail que font les Sœurs du Prado n’est pas « typique » mais répond à la demande
et aux besoins de l’Eglise et selon les dons de chacune. C’est pour cela que
nous croyons que nous trouverons notre place aussi dans la congrégation.

L’Etude d’Evangile nous a beaucoup aidées à affermir tous les jours notre choix
afin que cela produise en nous une vie que nous pourrons partager à d’autres.

 

        Ce que nous pouvons partager de la vie spirituelle :

La prière et l’étude d’Evangile ont nourri notre vie spirituelle :
« Connaître Jésus Christ, c’est tout ! » dit le P. Chevrier. Nous recevons cette grâce
par l’eucharistie, l’adoration, le sacrement de réconciliation que nous avons régulièrement;
les temps de réco et de retraite et aussi l’accompagnement que nous recevons de nos formatrices.

C’est comme le riz qui a toujours besoin d’eau et ne s’en sépare jamais ni au champ,
ni à la maison… Nous aussi, nous avons besoin de la prière dans notre vie quotidienne.
Parce que si on manque de vie de prière, nous n’avons pas la maturité…
et nous ne sommes pas de bons produits.

La prière nous a réconfortées pour vivre les événements et les réalités auxquelles
nous avons eu à faire face ; elle nous a aidées aussi à accepter l’accompagnement qu’on nous a donné.
La prière nous a aidées à comprendre que c’est l’œuvre de l’Esprit qui façonne en nous Jésus Christ
et nous permet de mieux le connaître et de s’attacher à Lui...

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